Chaque année, le 14 novembre marque la Journée mondiale du diabète. Au-delà de la sensibilisation médicale, cette date invite aussi à un regard intérieur : que nous dit le corps lorsqu’il dérègle notre rapport au sucre ?
1. Le corps, messager d’un déséquilibre
Quand le corps ne parvient plus à réguler le sucre, il met parfois en lumière un déséquilibre entre ce que l’on donne et ce que l’on s’accorde. Le sucre, source d’énergie et de plaisir, devient alors le symbole d’un manque de douceur intérieure, d’un besoin de réconfort ou d’amour que l’on n’arrive plus à combler autrement. Le message du corps peut ainsi être compris comme une invitation à rétablir un équilibre émotionnel.
2. Le plan symbolique : la douceur en question
Sur le plan symbolique, le diabète peut traduire une difficulté à accueillir la douceur : recevoir, se laisser aimer, goûter ce qui fait du bien. On contrôle, on anticipe, on “gère” — parfois jusqu’à assécher la joie spontanée. Certaines approches y voient aussi une fatigue du cœur : donner sans retour, ou oublier de se nourrir soi-même d’un amour simple et tendre.
3. Le plan énergétique : le centre de la confiance et de la joie
En énergétique, le pancréas est relié au chakra du plexus solaire, centre de la confiance et de la digestion émotionnelle. Quand cette zone s’épuise, c’est souvent le signe d’une tension entre volonté et plaisir, entre raison et élan du cœur. Retrouver la douceur de vivre, c’est aussi rééquilibrer cette circulation d’énergie : accepter de recevoir, se donner le droit d’être imparfait, et redonner au plaisir sa juste place.
4. Et si…
Et si le vrai défi n’était pas de renoncer au sucre, mais d’apprendre à laisser entrer la douceur ?
Non pas celle qu’on avale, mais celle qu’on ressent.
Celle qui ne fait pas monter la glycémie, mais apaise le cœur.
Note : Ce texte propose un regard symbolique et ne se substitue pas à un avis médical. Pour toute question relative au diabète, rapprochez-vous de votre médecin ou de votre équipe soignante.